Russie
Valentina Terechkova
Valentina Terechkova, la première femme cosmonaute, célèbre le 6 mars son 80e anniversaire. Le 16 juin 1963, deux ans après le premier vol spatial réalisé par Iouri Gagarine, elle devenait la première femme à se rendre dans l’espace. A 26 ans, la jeune femme devenait alors aussitôt une héroïne nationale. Elle reste d’ailleurs, à ce jour, la seule femme au monde à avoir effectué un vol individuel, sans coéquipier.
Ivan le Terrible
Le 16 janvier 1547 le prince de Moscou Ivan IV se fait sacrer Grand prince et Tsar de toutes les Russies. À la suite d’une erreur de traduction («grozny» signifie redoutable, dans le sens de puissance), il est surnommé le Terrible. Néanmoins, ce souverain réformateur, qui modernise la Russie, est aussi tristement connu en raison de sa cruauté et des nombreuses atrocités qu’il commet durant son règne.
Vladimir Maïakovski
Nikita Mikhalkov
Issu d’une famille artistique, Nikita Mikhalkov est un acteur et réalisateur russe. Il débute en travaillant dans le milieu du théâtre, avant de faire ses premières pas sur grand écran. Il sort diplômé de la VGIK et s’attaque à la réalisation. En 1974, il réalise son premier film, un western se déroulant dans la Russie des années 20. Ensuite, il adapte Tchekov, Volodine, tourne chez les grands réalisateurs soviétiques, réalise lui-même, travaille avec des stars étrangers comme Marcello Mastoianni. Son œuvre cinématographique est couronnée par le Lion d’or au Festival de Venise, le Grand Prix du Festival de Cannes ainsi que l’Oscar du meilleur film étranger.
Le Kamtchatka
Au Kamtchatka, tous nos sens sont en éveil, mais celui qui est sans nul doute le plus sollicité est la vue. Il y a tant à voir, tant à découvrir… Les volcans retiennent toute notre attention, nous font lever les yeux vers leurs sommets, nous invitent à les rejoindre et jouir des merveilleux paysages qu’ils ont à nous offrir. De là-haut, notre regard porte à l’infi nie et la nature sauvage du Kamtchatka se révèle à nous. Une fois à terre, le spectacle est loin d’être terminé ! Nous n’avons de cesse de vouloir explorer la magnificence du Kamtchatka.
Le Petit Cheval Bossu
«Je pense qu’il me faudra maintenant abandonner ce genre de littérature» aurait dit Alexandre Pouchkine après avoir lu ce conte en vers écrit par un jeune homme de 19 ans qui avait quitté sa Sibérie natale pour venir à Saint-Pétersbourg étudier à l’université. Ce jeune étudiant fut Piotr Erchov ; et son œuvre «Le Petit Cheval Bossu».
Kostroma
Cette petite ville provinciale de l’Anneau d’Or, à 350 km de Moscou, est connue pour son centre-ville du XVIIIe-XIXe siècles avec ses nombreux stands du Gostinny Dvor, sa Tour du Feu, et le Dvorianskoïe Sobranïe (l’assemblée pour l’aristocratie). Cependant, le vrai trésor de Kostroma est le monastère Ipatiev. Ce bâtiment magnifique est situé à l’extérieur de la ville et a logé autrefois le premier Tsar de la dynastie des Romanov, Mikhaïl Feudorovitch.
Le Samovar
Le thé, en Russie, est indissociable du samovar. Inventé au début du XVIIIe siècle dans l’Oural, cet objet, destiné à préparer le thé, ne s’est vraiment répandu qu’en même temps que la démocratisation du thé. Source de chaleur autour de laquelle se réunit la famille, le samovar est une sorte de grande bouilloire qui permet de maintenir plusieurs litres d’eau à la bonne température pour préparer le thé.
Mikhaïl Lermontov
Influencé par Byron, il compose des poèmes romantiques avant d’être exilé au Caucase pour avoir écrit des vers vengeurs sur la mort de Pouchkine, qu’il rêve d’égaler. Sa poésie, inspirée par la nature qu’il découvre, prend un tour plus personnel (« Borodino », 1837 ; « Le Chant du tsar Ivan Vassilievitch », 1838 ; « Le Démon », 1841). De retour à Moscou, il connaît à nouveau l’exil, alors que paraît son roman, « Un héros de notre temps », 1841. Il est tué dans un duel.
En Russie, la fête de la francophonie commence en janvier
Le XXIIe Séminaire annuel national de l’Association des Enseignants de Français en Russie s’est tenu dans la région de Moscou, du 27 janvier au 02 février 2013. Plus de 150 professeurs-stagiaires de FLE, venus de toute la Russie, se sont réunis pour échanger et débattre sur la France et la francophonie d’aujourd’hui. Le programme du séminaire a fait alterner 19 conférences et 45 ateliers sur des sujets très divers permettant de répondre aux attentes de chacun. Bien évidemment les questions pédagogiques ont été très largement traitées, principalement sur la base d’échanges de pratiques ouvrant ainsi de nombreuses et riches discussions.