Рекомендована Отделом по культуре
Посольства Франции в России

langue

Les expressions étranges

et les procédés de leur interprétation
La linguistique s’est longtemps tenue à l’écart de la littérature sans raison valable (et vice versa), mais l’idiome littéraire devenant de plus en plus compliqué, il n’est plus possible d’analyser le texte exclusivement du côté linguistique ou littéraire. Avec la forte inclinaison pour l’esthétisation des expressions étranges, voire absurdes, il est temps de penser à la restitution de ces liens traditionnels (ici nous tombons d’accord avec la prise de position exprimée par François Rastier dans son Sens et textualité). Читать далее

Connaitre pour maitriser

Connaitre pour maitriser

Connaitre pour maitriser

Les rectifications approuvées par l’Académie française en 1990, visent à simplifier et à régulariser l’orthographie de certains mots : è devant une syllabe contenant un e muet ; i et u sans accent circonflexe ; s du pluriel à la fin d’un nom emprunté et au second élément d’un nom composé avec trait d’union ; des traits d’union pour tous les numéraux composés. Les mots en cause peuvent être écrits de deux manières (nouvelle et ancienne) sans constituer des incorrections ni être jugées comme des fautes.

Le français au quotidien

Le français au quotidien

Le français au quotidien

La norme linguistique qui est ardemment protégée par les académiciens, n’est pas le seul et unique registre de la langue française. Le français familier, l’argot, le verlan, le franglais — tous ces parlers de déviation vivent à côté de la norme et même avec, si la pratique quotidienne en accepte des éléments. De tous temps, la société a fait paraître des unités lexicales dont le sens clair et partagé dans son milieu social était obscur pour les autres. Si auparavant c’était la pègre qui produisait en masse des mots nouveaux, aujourd’hui on constate l’influence du langage des jeunes sur le français général.

Le parlé et l’écrit — deux façons de pratiquer la langue

Le parlé et l'écrit - deux façons de pratiquer la langue

Le parlé et l’écrit — deux façons de pratiquer la langue

d’après Jacques Cellard

On peut s’intéresser à la grammaire pour elle-même, et pour les satisfactions intellectuelles qu’elle procure. Mais dans la majorité des cas, nous y voyons avant tout le moyen de parler et d’écrire aussi correctement (et même élégamment) qu’il est possible. Читать далее

Le franglais

Une dame à son coiffeur: «Faites-moi un brushing, mais vite car je n’ai plus de monnaie pour le parking et je dois me rendre au pressing chercher le smoking de mon boyfriend car on part sur la côte ce week-end.»

Il est très excessif de parler d’une invasion de la langue française par les mots anglais. Les emprunts à l’anglais sont un phénomène ancien. Читать далее

L’essentiel est de rendre correctes les désignations

Les Français sont amoureux de leur langue, au moins depuis la Renaissance. Du Bellay, Malherbe, Vaugelas, Buffon, Rivarol, Littré, Valéry, Étiemble… la liste est longue, et n’est pas close, de ceux qui se sont illustrés dans la simple défense et illustration de la langue française. On défend sa langue comme on défend ses frontières quand elles sont menacées : cela n’empêche ni les voyages ni les échanges, bien au contraire, car c’est aussi aux frontières qu’une langue s’enrichit, c’est dans ses rapports avec les autres langues qu’elle forge à mesure les mots nouveaux dont elle a besoin, au gré de l’évolution des mœurs. En effet, les idées nouvelles aussi bien que les produits nouveaux veulent des dénominations qui les distinguent. Ce qu’on appelle parfois un peu abusivement la vie de la langue, ce n’est que la vie (ou la mort) de la société qui l’emploie. Il y a toujours un choix : l’usage des mots reflète ce choix mais ne le dicte pas. Nous ne devons bien sûr pas voir en nos propres choix des fatalités dont nous ne serions pas maîtres.
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Manière de dire le monde

La langue est une richesse individuelle et collective

Au quotidien, la langue sert aux déclarations d’amour et aux transactions commerciales, aux conversations amicales et aux exposés scientifiques, aux bulletins d’informations et à la poésie.
Chacun peut à l’infini moduler les messages, familiers ou officiels, orner son langage ou le dépouiller, jouer avec les rythmes, chercher les bons mots ou les bonheurs d’expression.
Vecteur de communication, la langue permet la confrontation des points de vue, l’échange des convictions. Son partage fonde la conscience d’un bien commun.
Elle traduit, avec autant de justesse, l’intimité de la personne et l’appartenance à une collectivité.

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